Je rejoignais la maison où vivent mes parents. Là, m'attendait mon patron. Il me dit vouloir couper mes seins. Il m'expliqua qu'il souhaitait faire une blague à un ami et les lui offrir. Il me poursuivait et voulait absolument couper mes seins.
jeudi 22 janvier 2009
Les seins coupés
Je rejoignais la maison où vivent mes parents. Là, m'attendait mon patron. Il me dit vouloir couper mes seins. Il m'expliqua qu'il souhaitait faire une blague à un ami et les lui offrir. Il me poursuivait et voulait absolument couper mes seins.
mardi 20 janvier 2009
Les tueurs
Un rêve qui ressemble à une vidéo de Matthew Barney. Je me réveille angoissée. Terriblement angoissée.
mercredi 7 janvier 2009
A la pharmacie
dimanche 21 décembre 2008
Le rêve
Les volets de la maison étaient bleus. Les meubles aussi d'ailleurs. J'ouvris la porte et je vis un chat. Celui-ci vint près de moi. Manifestement, il avait faim. J'ouvris le frigo. Il se jeta sur la viande qui tombait du frigo. Je le laissais là. Je montais à l'étage de la maison. Je m'allongeais sur le lit immense. Je m'endormais. Lorsque j'éveillais les yeux, je vis que le mur de la chambre avait disparu. Je m'approchais doucement et je pouvais voir en effet ce qui se passait dehors. Je n'avais pas le vertige mais j'étais tout de même prudente. Là, un jet d'eau me mouilla le visage. Je descendis de la maison pour rejoindre cet endroit d'où venait l'eau. Une amie était là. Puis deux jeunes hommes que je remarquais. D'autres personnes étaient aussi assises. Un concert commença. Des musiciens jouaient un morceau de Brahms. Un des jeunes hommes regretta que l'on ne puisse écouter plus tard ce morceau car pour le moment, chacun se restaurait en écoutant et cela le gênait, disait il. Lorsque le concert fut terminé, un des jeunes hommes vint me parler.
Dans la maison, dans ce lit immense, il vint avec moi. Nous nous embrassions. Il me caressait le dos longuement. Assise sur sa cuisse, je me fis jouir tandis qu'il me caressait le dos. Je m'éveillais à nouveau dans mon rêve et je ne savais plus si cette scène avait été rêvée ou vécue.
mercredi 17 décembre 2008
Le château
Je prenais l'ordonnance. Je redescendais par l'ascenceur. En bas, m'attendait mon amant. Il me proposa de remonter avec lui dans un autre étage. Il me fit entrer dans un grand salon. Nous nous sommes allongés sur le canapé recouvert d'un tissu mordoré. Mon amant commença à me faire l'amour. Mais, nous étions sans cesse dérangés et nous ne pouvions jamais parvenir à jouir, parce que sans intérêt interrompus. Nous sommes alors redescendus par l'ascenceur et partîmes chacun de notre côté.
dimanche 14 décembre 2008
La mort de ma mère
Mon frère me tendit un dessin. Il s'agissait d'un dessin réalisé par son fils, qui s'appelait Papé. Je n'avais jamais rencontré son fils, puisque mon frère et moi sommes fâchés depuis longtemps. Il m'expliqua que son fils avait passé la soirée à faire ce dessin, et m'en expliquait chaque détail et chaque couleur. Le dessin représentait une grande maison ensoleillée et très colorée. Il me proposa que nous roulions celui-ci et que nous le mettions près de ma mère dans son cercueil. Je répondis que j'étais d'accord.
dimanche 3 juin 2007
Le Parti
Je rencontrais dans un bureau le député Jean-Marie Cavada, je lui parlais d'une association dont j'étais la présidente et lui demandait si le Conseil Régional (il était aussi conseiller régional dans mon rêve) pouvait m'aider, même si l'objet de l'association n'était pas dans les compétences attribuées à la Région. Il me garantit son soutien. Avant de partir, je lui dis que mon ami et moi- même avions adhéré au Parti mais qu'en ce qui me concernait, je ne pouvais en faire état publiquement du fait de mon travail. Je lui dis que par ailleurs mon ami avait envie de s'investir dans le parti et de participer à des groupes de travail. Il me répondit qu'il était le bienvenu et l'invita à venir à la prochaine réunion du Parti qui aurait lieu au XXl, bar gay de la ville. Je fus étonnée compte tenu de l'exiguité du bar. Jean-Marie Cavada me répondit alors que les réunions avaient lieu chaque semaine dans des bars différents.
jeudi 31 mai 2007
La femme de l'émir
vendredi 18 mai 2007
Les pustules
dimanche 13 mai 2007
Les cheveux blonds
dimanche 6 mai 2007
La révoltée
mercredi 25 avril 2007
La mère de Calvi
vendredi 20 avril 2007
La tête de clown
lundi 16 avril 2007
Le maire entreprenant
dimanche 15 avril 2007
Le restaurant japonais
samedi 14 avril 2007
La fille disparue
J'étais en réunion. Nous discutions d'un dossier de subvention que je devais remplir et faire signer le lendemain à une conseillère régionale. Une fois la réunion terminée, nous devions tous aller poser nos verres dans un grand carton. Plusieurs personnes rendaient leur verre cassé. J'étais très choquée et ennuyée qu'ils le fassent sans scrupules. Je rentrais chez moi.
Le lendemain, un coup de fil m'apprit que la fille de la conseillère régionale, avait disparue en Angleterre. Elle s'appelait Marjolaine. Les gens qui étaient près de moi me disaient qu'elle avait l'accent du midi. J'imitais l'accent du midi et ils se mirent à rire. Un avis de recherche était lancé. Je me suis souvenue alors que j'avais vue une semaine avant au hasard d'une recherche sur internet, un signalement d'une jeune fille disparue depuis quinze jours, qui s'appelait Marjolaine. La conseillère régionale pensait que sa fille avait disparue depuis seulement deux jours. Je n'osais lui dire la vérité. Puis je décidais de lui dire, mais je savais que cela signifiait probablement que sa fille était morte. J'appelais au Conseil Régional mais on m'indiqua que la femme était partie avec une délégation en Angleterre pour se rendre sur place. Je raccrochais. Des personnes étaient chez moi (la scène se passait dans la maison de mes parents). Il fallait que je lave le sol. Je pris alors un seau, mais l'eau était froide, je lavais tout de même le sol de marbre avec la serpillière. Puis je décidais de remplir le dossier de subvention, de prendre rendez vous avec un autre conseiller pour que le dossier soit tout de même rendu dans les délais.
jeudi 12 avril 2007
La journaliste culinaire
lundi 9 avril 2007
Le plongeon avec Paris Hilton
Un des membres de l'association, un homme, me prit à partie et critiqua les faits et gestes d'un autre. Je pris sa défense et dit à cet homme qu'il ne faisait absolument jamais rien, qu'il manquait de courage, d'engagement. Il ne répondait rien. Je lui montrais qu'on pouvait avoir du courage dans toutes les situations. Alors Paris Hilton, qui était là, elle aussi, cria qu'elle allait plonger dans la mer et que ceux qui avaient le courage la suivent. Elle partit en courant. Nicole Ritchie la suivit. Et moi aussi. Et mon fiancé aussi qui avait un costume de Batman. Nous montions sur des tables de gens attablés au café, et nous marchions de table en table jusqu'à arriver sur la jetée. Paris Hilton avait plongé. La nuit était tombée. Nicole Ritchie avait jeté son sac à main or mais elle n'osait pas plonger, elle avait peur de se fracasser la tête contre le bas de la jetée. Je plonge alors à mon tour. Batman aussi. Et d'autres encore après lui, qui étaient eux aussi costumés en ours, en Blanche-Neige etc... Nous nagions mais soudain Paris Hilton recouverte d'une boue jaunâtre nous dit qu'en fait nous étions près d'une sortie d'égoût qui se jetait dans la mer. Nous étions tous recouvert de cette boue jaune. Nous décidâmes alors de remonter sur la berge. Nous avancions vers notre maison, tous ensemble, en marchant sur un pont. Tous les gens nous applaudissaient et nous prévenaient que des journalistes nous attendaient chez nous.
dimanche 8 avril 2007
Le menuisier et mes collants violets
Ils me répondirent qu'il voulait faire lui même certaines sculptures sur ce meuble et qu'il voulait terminer vite son travail avant que tout ne ferme. Soudain, une souris apparut. Je me mis à hurler. Le menuisier qui ne parlait pas était descendu, il tua la souris en lui donnant un grand coup de marteau sur la tête. Il me regarda alors et me dit que j'avais de très beaux collants violets.
samedi 7 avril 2007
Les japonais coupeurs de bras
mardi 3 avril 2007
La robe de mousseline
Rêve de la nuit du lundi 2 avril 2007
J’étais dans un hôtel à Paris. Un hôtel minable. Lorsque je me déplaçais dans la ville, j’avais une sorte de vélo-scooter mais sur lequel je ne montais pas. Je le tenais et marchait à côté. Ce véhicule hybride était noir et avait un sigle blanc « SG ». Cela signifiait que j’étais fan d’une série télévisée. Les gens me regardaient bizarrement. J’arrivais jusqu’à l’hôtel. Un homme était dans le couloir de l’étage. Il me dit qu’il était ouvrier, qu’il abandonnait le chantier de l’hôtel. Je décidais alors de partir. Je rangeais dans ma valise les vêtements. Je pliais notamment une très longue robe de soirée multicolore. L’ouvrier me dit alors que l’homme qui m’avait offert cette robe m’aimerait jusqu’à la fin de ma vie car cette robe était un symbole. Je lui dis que cette robe était trop petite pour moi et que seule une fille fine comme la chanteuse Zazie pourrait la porter. Il m’expliqua alors que la robe ne devait pas être portée mais qu’une légende disait que cette robe en mousseline multicolore était le gage d’un amour éternel. Je ne le savais pas.
samedi 31 mars 2007
La colo
vendredi 30 mars 2007
L'examen
mardi 20 mars 2007
Les italiens
samedi 17 mars 2007
Mr et Mme Vent
J'habitais près de la mer. Je devais emprunter des chemins sinueux au milieu de hautes falaises pour atteindre ma maison. Celle-ci était au bord de la falaise mais néanmoins, il y avait un large trottoir devant la maison. La maison était toute blanche et sur le long du trottoir il y avait des boutiques et d'autres petites maisons. Je sortais marcher sur le trottoir mais des crocodiles marchaient aussi sur ce même trottoir. Les gens me criaient de faire attention. Un crocodile attaqua une de mes jambes. Je ne cessais de lui donner des coups de pied. Je parvins à le mettre k.o. à force de coups de pied. Puis je rentrais dans la maison.
Le sol d'une partie de la pièce principale était recouvert de galets. J'essayais de poser des meubles sur le sol mais ceux-ci ne restaient jamais droit bien évidemment. Tout était bancal. La chaise, la table. J'essayais d'organiser les galets et rien ne restait debout, droit. Les portes et les fenêtres se mirent à claquer. Entrèrent alors dans la pièce deux personnages habillés de blanc de la tête aux pieds, et le visage recouvert d'un masque blanc. Ils me parlèrent : "Nous sommes Mr et Mme Vent". Je m'échappais de la maison, affolée du bruit des portes et des fenêtres qui claquaient sans cesse. J'avais peur.
vendredi 16 mars 2007
La brésilienne
Je roulais sur une autoroute derrière un 4x4. Je vis alors que la plaque d'immatriculation était un département breton. Je reconnus alors les signes du véhicule d'un homme que je draguais. Je crois me souvenir que dans ce rêve je rejoignais cet homme quelque part.
Des enfants étaient à l'arrière du véhicule et chahutaient. Je vis qu'une femme était au volant.
Je dépassais alors le véhicule. Je vis une femme très belle, très grande, une femme qui me semblait être brésilienne. Elle avait les cheveux très longs, de longs cils bruns, des lèvres très pulpeuses et la peau bronzée. Elle était vraiment très belle. Alors, tout s'écroula dans ma tête et dans mon ventre. Je me sentis désarmée, ridicule de draguer un homme qui avait une femme si belle. Alors, je pris la sortie d'autoroute et faisait route en sens inverse.
mercredi 14 mars 2007
Les éléphants
Je me souviens que je criais et que j'essayais de me cacher derrière un grand morceau de verre.