jeudi 22 janvier 2009

Les seins coupés

J'allais voir un spectacle de danse dans une grande maison dont les murs étaient en contreplaqué. Je prenais dans la maison un ascenceur. Arrivée à l'étage, je regarde le spectacle qui en fait ressemblait plus à du théâtre de rue qu'à un spectacle de danse contemporaine. Je trouvais cela très mauvais et décidais de partir. Je reprenais l'ascenceur. Celui-ci descendait très lentement.
Je rejoignais la maison où vivent mes parents. Là, m'attendait mon patron. Il me dit vouloir couper mes seins. Il m'expliqua qu'il souhaitait faire une blague à un ami et les lui offrir. Il me poursuivait et voulait absolument couper mes seins.

mardi 20 janvier 2009

Les tueurs

Je suis dans un tunnel qui ressemble à une grotte. Je suis dans une voiture, d'un genre hybride : entre la voiture de course et la voiture à pédales. J'avance. Des hommes vêtus d'un imperméable beige, le visage recouvert d'une cagoule font face à moi et me tirent dessus.
Un rêve qui ressemble à une vidéo de Matthew Barney. Je me réveille angoissée. Terriblement angoissée.

mercredi 7 janvier 2009

A la pharmacie

J'entre dans une pharmacie. Je demande une boite de Doliprane. La pharmacienne me donne une boite gigantesque de Doliprane effervescent. Je lui demande du "non effervescent". Elle semble gênée et me dit que le mieux est de prendre ce qu'elle me donne. J'aperçois sur les rayonnages ce que je cherche : une petite boite de Doliprane non effervescents, un rayonnage entiers de ces boites. J'insiste et lui montre les boites. Elle me dit non. Un autre pharmacien s'en mêle et commence à crier en me demandant de sortir si je ne suis pas contente. La pharmacie se remplit. Je m'énerve. Les gens restent silencieux. Les pharmaciens me disent qu'ils ne peuvent pas vendre les autres Doliprane, que c'est comme ça, qu'ils doivent les laisser sur les étagères mais ne pas les vendre. Je pars de la pharmacie en colère.

dimanche 21 décembre 2008

Le rêve

Je partais seule à la mer. Je roulais sur une grande route très sinueuse. Je montais de plus en plus haut et apercevais la mer. Au bout de la route, j'arrivais dans une petite maison, qui appartenait à un de mes oncles. Celui-ci ne pouvant me loger me donna les clés de cette petite maison inhabitée.
Les volets de la maison étaient bleus. Les meubles aussi d'ailleurs. J'ouvris la porte et je vis un chat. Celui-ci vint près de moi. Manifestement, il avait faim. J'ouvris le frigo. Il se jeta sur la viande qui tombait du frigo. Je le laissais là. Je montais à l'étage de la maison. Je m'allongeais sur le lit immense. Je m'endormais. Lorsque j'éveillais les yeux, je vis que le mur de la chambre avait disparu. Je m'approchais doucement et je pouvais voir en effet ce qui se passait dehors. Je n'avais pas le vertige mais j'étais tout de même prudente. Là, un jet d'eau me mouilla le visage. Je descendis de la maison pour rejoindre cet endroit d'où venait l'eau. Une amie était là. Puis deux jeunes hommes que je remarquais. D'autres personnes étaient aussi assises. Un concert commença. Des musiciens jouaient un morceau de Brahms. Un des jeunes hommes regretta que l'on ne puisse écouter plus tard ce morceau car pour le moment, chacun se restaurait en écoutant et cela le gênait, disait il. Lorsque le concert fut terminé, un des jeunes hommes vint me parler.
Dans la maison, dans ce lit immense, il vint avec moi. Nous nous embrassions. Il me caressait le dos longuement. Assise sur sa cuisse, je me fis jouir tandis qu'il me caressait le dos. Je m'éveillais à nouveau dans mon rêve et je ne savais plus si cette scène avait été rêvée ou vécue.

mercredi 17 décembre 2008

Le château

J'entrais dans un château. Un château Renaissance en plein centre ville de la petite ville normande dont je suis originaire. Coincé entre une boulangerie et un supermarché, le château était donc dans la rue principale de la ville. J'entrais dans un long couloir de marbre noir et blanc. Je prenais un ascenceur jusqu'au dernier étage. J'entrais alors dans une grande salle où des gens assis me regardaient marcher. J'entendais les gens dirent que mes chaussures étaient magnifiques, des chaussures qui brillaient de mille couleurs. J'allais voir un médecin. Celui-ci était très occupé. Il me reçut très vite, me parla quelques minutes puis me pria d'aller chercher une ordonnance auprès d'un assistant dans le fonds de la pièce. Je remarquais la beauté de ce médecin.
Je prenais l'ordonnance. Je redescendais par l'ascenceur. En bas, m'attendait mon amant. Il me proposa de remonter avec lui dans un autre étage. Il me fit entrer dans un grand salon. Nous nous sommes allongés sur le canapé recouvert d'un tissu mordoré. Mon amant commença à me faire l'amour. Mais, nous étions sans cesse dérangés et nous ne pouvions jamais parvenir à jouir, parce que sans intérêt interrompus. Nous sommes alors redescendus par l'ascenceur et partîmes chacun de notre côté.

dimanche 14 décembre 2008

La mort de ma mère

Ma mère venait de mourir. Nous étions avec mon petit frère dans la grande maison de mes parents. Nous cherchions dans les affaires de ma mère une liste de personnes afin de les prévenir. Nous trouvions cette liste avec les coordonnées et nous barrions au fur et à mesure les noms, cherchant ceux qui connaissaient mon père et que nous avions prévenu il y a quelques mois du décès de notre père, et qui connaissaient aussi ma mère et que nous devions appeler à nouveau.
Mon frère me tendit un dessin. Il s'agissait d'un dessin réalisé par son fils, qui s'appelait Papé. Je n'avais jamais rencontré son fils, puisque mon frère et moi sommes fâchés depuis longtemps. Il m'expliqua que son fils avait passé la soirée à faire ce dessin, et m'en expliquait chaque détail et chaque couleur. Le dessin représentait une grande maison ensoleillée et très colorée. Il me proposa que nous roulions celui-ci et que nous le mettions près de ma mère dans son cercueil. Je répondis que j'étais d'accord.

dimanche 3 juin 2007

Le Parti

Rêve de la nuit du jeudi 31 mai 2007

Je rencontrais dans un bureau le député Jean-Marie Cavada, je lui parlais d'une association dont j'étais la présidente et lui demandait si le Conseil Régional (il était aussi conseiller régional dans mon rêve) pouvait m'aider, même si l'objet de l'association n'était pas dans les compétences attribuées à la Région. Il me garantit son soutien. Avant de partir, je lui dis que mon ami et moi- même avions adhéré au Parti mais qu'en ce qui me concernait, je ne pouvais en faire état publiquement du fait de mon travail. Je lui dis que par ailleurs mon ami avait envie de s'investir dans le parti et de participer à des groupes de travail. Il me répondit qu'il était le bienvenu et l'invita à venir à la prochaine réunion du Parti qui aurait lieu au XXl, bar gay de la ville. Je fus étonnée compte tenu de l'exiguité du bar. Jean-Marie Cavada me répondit alors que les réunions avaient lieu chaque semaine dans des bars différents.

jeudi 31 mai 2007

La femme de l'émir

Rêve de la nuit du jeudi 30 mai 2007

J'étais la femme d'un émir arabe. Nous vivions dans un grand Palais au milieu du désert. Mon mari m'annonça que nous allions partir quelques temps à Paris. Il avait fait l'acquisition d'un grand hôtel particulier. Nous avions quatre enfants. Je m'occupais d'eux à l'étage puis descendit. Mon mari recevait des hommes d'affaires. Je fus présentée à eux. Je décidais d'aller à la cuisine et je m'aperçus alors que plusieurs cuisinières avaient été amenées par mon mari. Il y avait des grandes jattes remplies de semoule. Les cuisinières s'affairaient à la cuisson d'un couscous. Je n'avais rien à faire. J'étais alors dans le couloir, debout, seule, dans une maginifique robe beige, et je me sentais triste. Je m'ennuyais.

vendredi 18 mai 2007

Les pustules

Rêve de la nuit du jeudi 17 mai 2007

Je me réveillais un matin et découvrais que sur ma joue des petites pustules formant des excroissances sortaient de ma peau. Rouges violacées, elles avaient la forme d'une fleur. J'étais inquiète. Mes proches essayaient de me rassurer. Mais la nuit suivante, une autre fleur pustulante sortait encore de ma joue. Puis une autre près de mon oreille. J'avais peur d'être défigurée. Les gens me regardaient cette fois-ci avec silence. Je ressentais une angoisse profonde.

dimanche 13 mai 2007

Les cheveux blonds

Rêve de la nuit du samedi 12 mai 2007

J'étais chez mes parents. Mais j'avais mon âge actuel. Je devais aller chercher le pain dans la petite ville. Il faisait beau. Je rencontrais des tas de gens qui me regardaient avec admiration, je le voyais. Une fois rentrée, mon père et ma ma mère étaient sur le perron, je leur montrais mes cheveux blonds, magnifiques, longs. Je leur disais "ils ont beaux n'est ce pas ? ils ont poussé, ils sont bien blonds, je les ai bien coiffé, je vais juste les faire un peu dégrader ici". Ils acquiessaient. Je ne cessais de balancer mes cheveux et je retournais dans ma chambre les coiffer.

dimanche 6 mai 2007

La révoltée

Rêve de la nuit du samedi 5 mai 2007

La scène se passait dans l'entreprise où je travaillais il y a dix ans, dirigée par deux co-gérants A. et H. Mais ma collègue actuelle y travaillait aussi. L'entreprise était toutefois située dans la grande maison de mes parents. J'étais dans l'entrée quand je vis arriver, au volant d'une véhicule Renault Espace, JP, un autre de mes anciens patrons. Je compris que l'entreprise était en difficulté mais que cela m'avait été caché. Ils avaient fait appel à JP, personne peu recommandable, pour les aider. Je savais que nous allions tous nous faire manipuler par cet homme profiteur. J'étais furieuse. J'ouvris avec fracas la porte du bureau de mes deux patrons. Je dis fermement à A. en le regardant fixement dans les yeux que je trouvais leur comportement inadmissible, qu'il était anormal que j'ai été mise à l'écart d'une telle décision et qu'ils s'abaissaient à demander de l'aide à JP sachant qu'il allait les lier pieds et poings. H. me regardait gêné. Aucun des deux ne répondait. Je partis rejoindre ma collègue. Je lui expliquais la situation. Elle se mit à pleurer. Je lui dis de ne pas s'inquièter et que nous trouverions une solution. Le soir venu, un cocktail était donné, au cours duquel JP convoquait l'ensemble des employés en leur disant que chacun devait faire beaucoup d'heures, non rémunérées, pendant plusieurs mois. J'entendais la secrétaire dire qu'elle s'arrangerait, qu'elle reviendrait donc après avoir récupéré ses enfants chez la nourrice. J'étais révoltée. Je pris alors au col JP en lui disant ses quatre vérités. Je trainais les deux patrons et deux autres personnes dans une autre pièce en leur sommant d'avouer aux employés la réalité de la situation. Ils ne disaient rien. J'étais hors de moi. Je pris la décision de partir mais de promettre qu'ils allaient entendre parler de moi. Je partais en guerre dorénavant contre eux.

mercredi 25 avril 2007

La mère de Calvi

Rêve de la nuit du mardi 24 avril 2007

Yves Calvi présentait son émission sur Art, "C'est dans l'air". Sa mère était invitée parmi les débatteurs. Elle intervenait sans cesse avec un fort accent. Les autres invités ne pouvaient pas parler et quittaient le plateau. Le directeur des programmes intervint en direct et dit à Yves Calvi que c'était une erreur d'avoir invité sa mère. Yves Calvi, vexé, quitta le plateau et fit reproche à sa mère de ses interventions. Il marchait dans la rue et elle le suivait en vociférant.

vendredi 20 avril 2007

La tête de clown

Rêve de la nuit du jeudi 19 avril 2007

J'étais un vernissage d'exposition dans une galerie en région parisienne. J'y étais allée à contre coeur car je détestais la femme qui dirigeait ce lieu. J'étais accompagnée d'une amie. L'exposition était profondément ennuyeuse et la performance d'artistes de cirque était pitoyable. La galeriste vint me parler en s'étonnant que je ne vienne pas plus souvent dans son espace d'exposition. Je la pris alors à partie et lui dis tout ce que je pensais d'elle : qu'elle était opportuniste, qu'elle m'avait instrumentalisé pour que je la soutienne financièrement, qu'elle ne travaillait pas tous les jours dans sa galerie etc... Je la regardais fixement. Elle ne répondit pas. Je décidais de m'écarter du public. Puis je demandais à mon amie si elle voulait bien rentrer. Elle hésitait. S'approchèrent alors de moi les amis de la galeriste. Ils commencèrent à me peinturluer le visage en clown triste, le clown blanc. Je décidais de sortir de ce lieu et de rejoindre ma voiture seule, mais ils se mirent à courir après moi. Je courais, passais sous un pont d'autoroute, montait une côte. Je pensais les avoir semé mais je les aperçus. Ils criaient "La voilà!". Je courais très vite jusqu'à m'engouffrer dans une petite ruelle dans laquelle ils ne réussirent pas à s'engouffrer.

lundi 16 avril 2007

Le maire entreprenant

Rêve de la nuit du dimanche 15 avril 2007

J'étais en réunion et le maire de V. était là. Il ne cessait de m'interpeller sur certains points, me donnant des leçons sur telle ou telle chose. Cela m'exaspérait mais je ne pouvais rien dire car j'étais obligée de rester aimable par intérêt pour la société dans laquelle je travaillais. Après la réunion, le maire me demanda de l'accompagner. Nous étions alors en bas d'une colline. Nous avons pris un chemin qui montait vers le sommet de la colline tout en tournant autour d'elle. Nous discutions en marchant. Le maire faisait des jeux de mots sans arrêt que je trouvais absolument insipides. Il me posait beaucoup de questions. Je lui expliquais alors que je ne pouvais m'occuper de tout ce qu'il demandait car je m'occupais de quelque chose qui me semblait plus important et je lui expliquais alors un projet que je montais sur le handicap. Il ne parlait plus, m'écoutait. Nous redescendions en fait vers le bas de colline. Il me dit combien il trouvait cela intéressant. Il m'exaspérait mais à la fois je le trouvais très attirant. Arrivés en bas de la colline, je lui dis au revoir, lui aussi mais au lieu de me serrer la main, il m'embrassa à pleine bouche. Je repartais, satisfaite, mais sachant que tout le monde l'avait vu.

dimanche 15 avril 2007

Le restaurant japonais

Rêve de la nuit du samedi 14 avril 2007

Nous revenions d'un séminaire avec ma collègue J. et mon collègue P.. C'était à Paris. Nous cherchions un endroit pour déjeuner. Nous apercevons un immense restaurant japonais, avec de grandes enseignes clignotantes, un restaurant qui ressemblait à un centre commercial. Nous décidons de déjeuner ici. J. avance devant nous, P. va chercher quelque chose dans sa voiture et moi je passe un coup de fil. Je propose à J. de prendre une table et de la rejoindre dès que mon coup de fil sera terminé. Quelques minutes après, j'avance dans le restaurant, traverse une sorte de patio, me dit que J. a dû choisir une table en terrasse par ce beau soleil, j'avance toujours mais je ne la vois pas. J'avance dans un jardin, pour arriver finalement dans un terrain vague à l'herbe non coupée et j'aperçois l'orée d'une forêt. La patronne du restaurant, une japonaise très mal aimable me demande de revenir immédiatement. Je reviens, je vais à l'intérieur du restaurant, je retrouve P. à une table mais toujours pas J. Nous nous interrogeons, ne comprenons pas. P. ne s'inquiète pas et dit que cela lui arrive souvent de vouloir déjeuner seule. Je ne peux parvenir à me détendre durant le repas, je suis inquiète pour J. Le repas ne nous est pas servi, nous attendons des heures les serveurs.

samedi 14 avril 2007

La fille disparue

Rêve de la nuit du vendredi 13 avril 2007

J'étais en réunion. Nous discutions d'un dossier de subvention que je devais remplir et faire signer le lendemain à une conseillère régionale. Une fois la réunion terminée, nous devions tous aller poser nos verres dans un grand carton. Plusieurs personnes rendaient leur verre cassé. J'étais très choquée et ennuyée qu'ils le fassent sans scrupules. Je rentrais chez moi.
Le lendemain, un coup de fil m'apprit que la fille de la conseillère régionale, avait disparue en Angleterre. Elle s'appelait Marjolaine. Les gens qui étaient près de moi me disaient qu'elle avait l'accent du midi. J'imitais l'accent du midi et ils se mirent à rire. Un avis de recherche était lancé. Je me suis souvenue alors que j'avais vue une semaine avant au hasard d'une recherche sur internet, un signalement d'une jeune fille disparue depuis quinze jours, qui s'appelait Marjolaine. La conseillère régionale pensait que sa fille avait disparue depuis seulement deux jours. Je n'osais lui dire la vérité. Puis je décidais de lui dire, mais je savais que cela signifiait probablement que sa fille était morte. J'appelais au Conseil Régional mais on m'indiqua que la femme était partie avec une délégation en Angleterre pour se rendre sur place. Je raccrochais. Des personnes étaient chez moi (la scène se passait dans la maison de mes parents). Il fallait que je lave le sol. Je pris alors un seau, mais l'eau était froide, je lavais tout de même le sol de marbre avec la serpillière. Puis je décidais de remplir le dossier de subvention, de prendre rendez vous avec un autre conseiller pour que le dossier soit tout de même rendu dans les délais.

jeudi 12 avril 2007

La journaliste culinaire

Rêve de la nuit du mercredi 11 avril 2007

J'avais réservé une table dans un restaurant. Nous arrivions mon fiancé et moi dans ce restaurant. C'était une grande maison bourgeoise. Il faisait nuit. Nous entrons. Personne ne venait nous accueillir. Nous avançons vers les cuisines et ce qui faisait office de réception de l'hôtel. Mon fiancé se mit à parler avec un vieux monsieur qui était assis dans l'entrée. Je demandais au réceptionniste de nous indiquer quelle était notre table. Il me dit alors que le restaurant était complet et qu'aucune réservation n'avait été prise. Je commençais à m'énerver. Il ne voulait rien entendre. Je pris une affichette qui était posée sur la banque d'accueil et la déchirait devant lui en lui disant que c'était bien dommage car j'étais journaliste culinaire et que je lui ferais une publicité dont il se souviendrait dans mon journal. Il me dit alors qu'il allait s'arranger, qu'il allait ouvrir une des salles qui était fermée et que nous pourrions diner sans problème ce soir. Je lui dis non. Nous avancions vers la sortie, il essayait de me retenir, je me débattais. Et je lui dis qu'il se souviendrait de mon passage.

lundi 9 avril 2007

Le plongeon avec Paris Hilton

Rêve de la nuit du dimanche 8 avril 2007

J'assistais à une réunion associative, assise sur une pelouse. J'avais démissionné de mon poste de trésorière de cette association. Un charcutier vint me demander un renseignement. Il voulait savoir si ce qu'on disait était vrai : il semblait que la fréquentation de sa charcuterie augmentait la fréquentation de la boucherie d'en face. Je lui expliquais que cette rumeur était exacte et que j'avais moi-même travaillé sur les chiffres de ces fréquentations. Je lui montrais les statistiques. Je lui indiquais alors que la fréquentation de l'épicier qui était dans la même rue avait elle aussi augmentée grâce à lui. Il était sidéré. Je lui dis que tout cela était normal.
Un des membres de l'association, un homme, me prit à partie et critiqua les faits et gestes d'un autre. Je pris sa défense et dit à cet homme qu'il ne faisait absolument jamais rien, qu'il manquait de courage, d'engagement. Il ne répondait rien. Je lui montrais qu'on pouvait avoir du courage dans toutes les situations. Alors Paris Hilton, qui était là, elle aussi, cria qu'elle allait plonger dans la mer et que ceux qui avaient le courage la suivent. Elle partit en courant. Nicole Ritchie la suivit. Et moi aussi. Et mon fiancé aussi qui avait un costume de Batman. Nous montions sur des tables de gens attablés au café, et nous marchions de table en table jusqu'à arriver sur la jetée. Paris Hilton avait plongé. La nuit était tombée. Nicole Ritchie avait jeté son sac à main or mais elle n'osait pas plonger, elle avait peur de se fracasser la tête contre le bas de la jetée. Je plonge alors à mon tour. Batman aussi. Et d'autres encore après lui, qui étaient eux aussi costumés en ours, en Blanche-Neige etc... Nous nagions mais soudain Paris Hilton recouverte d'une boue jaunâtre nous dit qu'en fait nous étions près d'une sortie d'égoût qui se jetait dans la mer. Nous étions tous recouvert de cette boue jaune. Nous décidâmes alors de remonter sur la berge. Nous avancions vers notre maison, tous ensemble, en marchant sur un pont. Tous les gens nous applaudissaient et nous prévenaient que des journalistes nous attendaient chez nous.

dimanche 8 avril 2007

Le menuisier et mes collants violets

Rêve de la nuit du samedi 7 avril 2007

J'étais dans la maison de mes parents. Il y avait trois menuisiers. Deux menuisiers étaient assis dans les grands fauteuils du salon. J'étais dans une autre pièce, le téléphone se mit à sonner. Une dame commença à me parler sans s'annoncer et me dit qu'il fallait absolument qu'on parle aux autres, que ça n'allait plus, qu'elle ne savait plus quoi manger. Je lui demandais alors qui elle était. Elle me répondit "Françoise". Je lui dis alors que nous allions réfléchir avec les autres et que nous mettrions en place des ateliers de cuisine et que nous donnerions des recettes variées et équilibrées. Le menuisier qui n'était pas assis avec les autres mais qui travaillait à la fabrication d'un meuble passa à côté de moi. Je lui racontais le coup de téléphone et lui expliquait aussi que cette personne souffrait de toc, et qu'elle voulait sans arrêt faire le ménage. Il me regarda quelques secondes et tourna les talons. Je le trouvais très impoli. Je partis me changer. Je mis une jupe rouge, des collants violets, des chaussures rouges, un pull violet. Je cherchais une veste rouge mais je ne la trouvais pas. Je descendis au salon, ouvrit un petit placard où une veste rouge était suspendue sur un cintre. Je demandais aux menuisiers qui étaient assis pourquoi leur collègue parlait si peu et pourquoi il fabriquait ce meuble alors qu'il était licencié.
Ils me répondirent qu'il voulait faire lui même certaines sculptures sur ce meuble et qu'il voulait terminer vite son travail avant que tout ne ferme. Soudain, une souris apparut. Je me mis à hurler. Le menuisier qui ne parlait pas était descendu, il tua la souris en lui donnant un grand coup de marteau sur la tête. Il me regarda alors et me dit que j'avais de très beaux collants violets.

samedi 7 avril 2007

Les japonais coupeurs de bras

Rêve de la nuit du vendredi 6 avril 2007

J'étais dans la maison de mes parents. Un groupe de japonais habillés comme des mafiosos étaient dans la maison. Je devais leur obéir. Ils coupaient les bras de personnes qu'ils amenaient dans la maison. Je devais nettoyer le sang par terre. Si je ne le faisais pas, il menaçait de me couper le bras. J'entrais dans la salle de bains et j'étais terrorisée. Je me demandais comment m'enfuir de ce cauchemar. Quelques jours après, j'étais toujours dans la maison. Je subissais une séance d'hypnose mais je ne parvenais pas à parler car ma mère était à la porte et voulait tout écouter.

mardi 3 avril 2007

La robe de mousseline

Rêve de la nuit du lundi 2 avril 2007


J’étais dans un hôtel à Paris. Un hôtel minable. Lorsque je me déplaçais dans la ville, j’avais une sorte de vélo-scooter mais sur lequel je ne montais pas. Je le tenais et marchait à côté. Ce véhicule hybride était noir et avait un sigle blanc « SG ». Cela signifiait que j’étais fan d’une série télévisée. Les gens me regardaient bizarrement. J’arrivais jusqu’à l’hôtel. Un homme était dans le couloir de l’étage. Il me dit qu’il était ouvrier, qu’il abandonnait le chantier de l’hôtel. Je décidais alors de partir. Je rangeais dans ma valise les vêtements. Je pliais notamment une très longue robe de soirée multicolore. L’ouvrier me dit alors que l’homme qui m’avait offert cette robe m’aimerait jusqu’à la fin de ma vie car cette robe était un symbole. Je lui dis que cette robe était trop petite pour moi et que seule une fille fine comme la chanteuse Zazie pourrait la porter. Il m’expliqua alors que la robe ne devait pas être portée mais qu’une légende disait que cette robe en mousseline multicolore était le gage d’un amour éternel. Je ne le savais pas.

samedi 31 mars 2007

La colo

Rêve de la nuit du vendredi 30 mars 2007

J'avais en charge un groupe d'enfants. Nous étions dans un château féodal très sombre. Les enfants devaient parcourir ce château en partant du haut d'une tour pour aller vers le pont levis en utilisant un canoé car le château était rempli d'eau. Je les voyais s'engouffrer dans le château et je devais les récupérer en bas. Je les attendais, les soignais quand ils arivaient en bas de ce toboggan kaamelotesque !

vendredi 30 mars 2007

L'examen

Rêve de la nuit du jeudi 29 mars 2007

Dans une grande salle qui ressemblait au séjour de la maison de mes grands-parents, j'étais assise derrière une table, avec d'autres personnes eux aussi assises derrière une table. Le lieu était une salle d'examen. Une personne nous distribua des sujets et nous indiqua que l'examen devait être terminé dans trois heures. Il s'agissait de donner la liste des symptômes que guérissait un certain médicament. Je commençais à écrire mais j'étais prise de panique car le temps passait et je voyais les autres écrire sans cesse et remplir des pages tandis que je cherchais dans ma mémoire les choses que j'avais pu oublier. Je répétais sans cesse dans ma tête "qu'y avait il après "les pertes de sang?". Les gens commencaient à sortir de la salle. Je restais seule et finit par m'évanouir.

mardi 20 mars 2007

Les italiens

Rêve de la nuit du dimanche 18 mars 2007

Je roulais à vélo dans la rue des Bonnetiers, derrière la Cathédrale. Je dépassais deux hommes qui marchaient sur le trottoir et je m'aperçus qu'il s'agissait de mes anciens patrons, deux frères italiens pour lesquels j'avais travaillé à Paris il y a dix ans. Je décidais alors de revenir vers eux et de leur parler. Ils avaient l'air surpris de me voir. Je leur racontais alors ce que je faisais, ce que j'étais devenue. Un des deux frères ne me parlait pas. L'autre me posa quelques questions en s'écartant un peu de son frère. Nous étions alors debout près d'un potager dans la rue des Bonnetiers. Il me dit qu'il était toujours architecte. Je repartais légère, le sourire aux lèvres, à vélo tandis que je voyais leurs visages préoccupés et fermés.

samedi 17 mars 2007

Mr et Mme Vent

Rêve de la nuit du jeudi 15 mars 2007

J'habitais près de la mer. Je devais emprunter des chemins sinueux au milieu de hautes falaises pour atteindre ma maison. Celle-ci était au bord de la falaise mais néanmoins, il y avait un large trottoir devant la maison. La maison était toute blanche et sur le long du trottoir il y avait des boutiques et d'autres petites maisons. Je sortais marcher sur le trottoir mais des crocodiles marchaient aussi sur ce même trottoir. Les gens me criaient de faire attention. Un crocodile attaqua une de mes jambes. Je ne cessais de lui donner des coups de pied. Je parvins à le mettre k.o. à force de coups de pied. Puis je rentrais dans la maison.

Le sol d'une partie de la pièce principale était recouvert de galets. J'essayais de poser des meubles sur le sol mais ceux-ci ne restaient jamais droit bien évidemment. Tout était bancal. La chaise, la table. J'essayais d'organiser les galets et rien ne restait debout, droit. Les portes et les fenêtres se mirent à claquer. Entrèrent alors dans la pièce deux personnages habillés de blanc de la tête aux pieds, et le visage recouvert d'un masque blanc. Ils me parlèrent : "Nous sommes Mr et Mme Vent". Je m'échappais de la maison, affolée du bruit des portes et des fenêtres qui claquaient sans cesse. J'avais peur.

vendredi 16 mars 2007

La brésilienne

Rêve de la nuit du mercredi 14 mars 2007

Je roulais sur une autoroute derrière un 4x4. Je vis alors que la plaque d'immatriculation était un département breton. Je reconnus alors les signes du véhicule d'un homme que je draguais. Je crois me souvenir que dans ce rêve je rejoignais cet homme quelque part.
Des enfants étaient à l'arrière du véhicule et chahutaient. Je vis qu'une femme était au volant.
Je dépassais alors le véhicule. Je vis une femme très belle, très grande, une femme qui me semblait être brésilienne. Elle avait les cheveux très longs, de longs cils bruns, des lèvres très pulpeuses et la peau bronzée. Elle était vraiment très belle. Alors, tout s'écroula dans ma tête et dans mon ventre. Je me sentis désarmée, ridicule de draguer un homme qui avait une femme si belle. Alors, je pris la sortie d'autoroute et faisait route en sens inverse.

mercredi 14 mars 2007

Les éléphants

Lorsque j'étais enfant, je faisais très souvent ce rêve : nous étions mes parents, mon frère et moi dans une verrière dans un grand parc. Un troupeau d'éléphants arrivait en force. Ils marchaient à pas lourds sur le chemin, ils cassaient la verrière. Nous devions courir vite pour nous échapper mais le sol recouvert de gros cailloux nous empêchait de courir aussi vite que nous le voulions.
Je me souviens que je criais et que j'essayais de me cacher derrière un grand morceau de verre.